Arthur Lohendrin, première année.

Nom: Lohendrin

Prénom: Arthur, Perceval

Age: 11

Année d'étude: Première

Description physique:

De taille et de corpulence relativement moyenne. Arthur est un jeune garçon avec un épaisse et batailleuse chevelure blonde cendrée. Il a hérité des traits aquilins et des mâchoires carrées de son père mais du nez mutin et des lèvres fines de sa mère. Le tout donne un visage charmant aux expressions moqueuses ou enjouées. Du côté maternelle il a aussi hérité des membres fins et des mains de pianistes de sa grand mère.
Lorsqu'il réfléchit ses sourcils se fronce, son regard devient pénétrant tandis que ses lèvres se plissent en une expression interrogatrice, il n'est pas rare dans ces cas là de voir son index frotté son front comme s'il suffisait de ce geste pour qu'il trouve la réponse qu'il cherche. L'expression sérieuse qu'il prend lorsqu'il réfléchit détonne avec son physique et ses traits juvéniles. Mais quand il trouve la réponse qu'il cherchait son visage s'illumine, ses yeux s'écarquillent, ses sourcils ses haussent et ses lèvres s'ouvrent en un «ah!» joyeux.
Quand il boude ou qu'il est triste ses poings se ferment et ses bras se croisent sur sa poitrine. Le visage est baissé,la bouchent est close, les lèvres rentrées. le regard se noircit et les sourcils sont réunis en une seule ligne.
Quand il est heureux et sourit ses lèvres fines semblent allez d'une oreille à l'autre,et ses yeux brillent de mille feux, son rire est une trille aigu ressemblant au chant d'un petit oiseau.

Caractère:

Arthur est d'un caractère souple et enjoué. Ses bouderies ou ses pleures ne durent jamais longtemps. D'un tempérament curieux il s'émerveille de tout. Rien ne le laisse indifférent et il n'aura de cesse d'explorer, observer, démonter, ou goûter tout nouvel objet, lieu, personne, ou plat apparaissant dans sa vie jusqu'à que sa curiosité soit rassasiée. Il ne parle pas avec quelqu'un, ses discussions s'apparente plutôt à des bombardement de questions ou de remarques lancées sur sa cible sans lui donner le temps de répondre. Sa curiosité et sa nature aventureuse sont vue comme de la témérité et de l'inconscience par sa mère mais, Arthur n'est pas inconscient, il sait très bien que certaines de ses explorations sont dangereuses et qu'il risque bien plus que de s'écorcher les genoux. Mais, cadet d'une famille de sept enfants il est persuadé de pouvoir faire comme ses six grands frères. Lorsque son père lui a parler du fantôme qui vivait dans le grenier de leurs manoir pour éviter qu'Arthur ne s'aventure dans les dangereuses combles, cela a eu l'effet contraire: il a passé toute une nuit en haut en espérant apercevoir l'esprit. Arthur est donc, en résumé, un courageux petit bonhomme a la curiosité légendaire.

Histoire:

Arthur est le cadet de sept enfants d'une noble famille du pays Galle. Peut-être que le premier tour de magie qu'il fit fût sa naissance. En effet après avoir accouché difficilement de son sixième fils Andrew, madame Lean Lohendrin se vit informer la mort dans l'âme que son corps avait subit trop de dommage et qu'il lui serait impossible d'enfanter a nouveau. Ce fût pendant dix ans un coup dur pour son mari Nelson Lohendrin, fils unique lui même, il avait toujours rêver d'avoir un jour sept enfants. Son plus cher rêve vernit de prendre fin un enfant avant le but. Pendant dix ans Nelson et Lean Lohendrin élevèrent donc leurs six enfants: Eliot, Paul, Allan, Peter, Phil et Andrew. Et pendant dix ans le ventre de Lean se montra infécond. Puis ce fût le miracle, Madame Lohendrin était de nouveau enceinte! Dix ans après sa dernière grossesse! Nelson et ses fils furent fou de joie! Durant neuf mois Lean fut entourer de ses six hommes, tous au petit soins avec elle, et le sept Juillet vint au monde un enfant blond qui pleura à peine, et qui posa sur ses six frères, son père et sa mère un regard interrogateur. Nelson décida de l'appeler comme son illustre et légendaire ancêtre: Perceval. Mais après les cris de madame Lohendrin qui jugea ce nom ridicule l'enfant fût baptiser Arthur, Perceval Lohendrin.
Dés qu'il marcha à quatre pattes Arthur se mit à explorer l'imposante demeure familiale. Il disparaissait donc rendant sa mère folle d'inquiétude. Ses frères charger de le trouver le trouver toujours endormit dans les endroits les plus étranges: Panier à linge, Panière à pain, placard, buffet, vaisselier, dans des boîtes et même lors d'une occasion mémorable endormit entre les pattes du dogue de la famille, Brutus, le chien censé garder le grand jardin de la propriété mais qui le plus souvent creusait dans le potager et dormait a l'ombre des arbres. Brutus le regardait d'un air hébété, n'osant plus bouger et bavant consciencieusement sur la grenouillère du petit fugueur.
Monsieur Nelson était ce que l'on pourrait appeler un « descendant professionnel » fier de son légendaire ancêtre il faisait visiter la maison et les terres aux touristes les présentants comme les terres ancestrales de Perceval, il racontait aussi aux etrangers de passage des histoires sur d'autre de ses ancêtres, Lucius Lohendrin mousse sur le bateau de l'amiral Nelson, Albert Lohendrin pilote d'avion lors de la première guerre mondiale. Il racontait toujours ces histoires en bombant le torses et en frisant ses moustaches. En de multiples occasions Arthur l'écoutait, les yeux illuminait et appris à être fier de ses ancêtres, non pas ce genre de fierté qui pousse à regarder les gens de haut, mais plutôt celle qui donne envie de faire comme ses aïeux.
Madame Lean elle était une mère au foyer attentive et dévouée, au crise de rage légendaires lorsque l'un de ses garnements avait fait une bétise elle le sentait et il lui suffisait d'un regard appuyé pour que le fautif admette que c'etait bien lui qui avait casser le vase de tante Aglaé.
Arthur avait depuis longtemps remarqué que lorsqu'il était effrayer ou traumatiser, en revenant de chez le coiffeur par exemple des choses étranges se passaient, ses cheveux repoussé en un jour, ses choux de Bruxelles avait subitement le goût de chocolat, ou lorsque sa mère le cherchait pour lui donner une fessée elle pouvait tourner dix fois autour de la table sous laquelle il se cachait sans le voir ni même l'entendre pouffait de rire.
Aussi il ne fût pas surpris de recevoir l'étrange lettre de Poudlard et la visite d'en employé du ministère de la magie. Son père fit visiter le manoir à cet homme lui raconta les légendes sur ses ancêtres et même une qu'Arthur entendait pour la première fois, l'histoire de sa grande tante Paulie Lohendrin gardienne légendaire de l'équipe des Harpies de Hollyhead.
C'est donc avec curiosité et enthousiasme et poussé par toutes sa familles fière de lui qu'il monta dans le Poudlard express, quai 9 ¾ en direction de sa nouvelle école pour Sorcier.