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 Nathanaël Curringam

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AuteurMessage
Nathanaël Curringam
5ème année ~ Serpentard
5ème année ~ Serpentard
Nathanaël Curringam


Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 06/11/2008

Nathanaël Curringam Empty
MessageSujet: Nathanaël Curringam   Nathanaël Curringam EmptyDim 9 Nov - 8:35

Nom : Curringham

Prénom
: Nathanaël , Kealey

Surnom : Nath, mais peu de gens se permettent de l'appeler ainsi.

Age
: 16 ans

Année d'étude
: cinquième année

Physique
:Un grand garçon à l’allure altière, menton relevé et dégaine hautaine. Son visage était fin, ses yeux bleus trop acidulés surement, car ils donnaient un minimum de vie dans ses traits souvent impassibles. Sa carnation pâle s’accordait parfaitement avec sa chevelure platine, il semblait presqu’a une peinture dont les couleurs auraient été délavées par le temps. Sa stature légèrement musclée donnait à son corps albâtre une certaine force virile, alors que ses lèvres fines, légèrement rosées évoquait la féminité d’un visage trop bien ciselée. Son facies, bien que pale possédait des traits fins et anguleux, la courbe de ses yeux bleus qui se plissaient lorsque le soleil venait à frapper trop fort, sa fine bouche s’étirant en un léger sourire, lorsqu’on l’intéressait. Sa coupe mutine mais étonnamment actuelle, ses sourcils presque esquissés par un invisible peintre habile et des longues mains fines complétait ce portrait.

En dehors des cours, le garçon sait se mettre en valeur, qui plus est par des matières nobles et des coupes parfaite. Son style se situe entre l’élégance du neutre et la modernité de l’adolescent. Dans l’ensemble, il affectionne particulièrement les débardeurs près du corps, toujours dans une couleur unie et sombre, tandis qu’il portera des jeans noirs. Il accessoirise le tout avec des ceintures métallisées, une bague en argent au pouce gauche et une seconde au majeur droit. Ses chaussures sont des converses all star, noire ou blanche, ou encore des baskets griffées en éditions limités. Mais Il n’aime que les chaussures élégantes, ne vous attendez pas à le voir en tongues ca n’arrivera jamais. Coté sous-vêtement, il ne porte que des boxers de marque, Armani et Calvin Klein côtoyant des marques sorcières de luxe. Souvent dans des tons unis également. Nathaniël privilégie la sobriété à une extravagance mal assumée. De plus le contraste entre ses vêtements sombres et sa pâle carnation est ravissant.


Caractère
: Une âme torturé peut-être? Le garçon est sur de lui, et affiche un parfait contrôle de sa personne en toute occasion. La classe à l’état pur, mais c’est voulu me direz vous. Nathaniël méprise tout ce qui lui semble ridicule ou anti « classe ». D’ailleurs, il juge les gens au premier coup d’œil, sans vraiment se prendre la tête. Il affiche constamment une attitude blasée, et n’hésite pas à montrer son indifférence en usant de sarcasmes et d’ironies. Par ailleurs il ne supporte pas les gens stupides ou laids. Son coté esthète sans doute, il adore être entourée de belles choses. Mais il sait être touché par un caractère exceptionnel, une attitude unique. Enfin touché c’est un bien grand mot, intrigué plutôt. Il est intelligent mais étroit d’esprit, et sa certitude en son discernement en fait quelqu’un de borné. Ne vous attendez pas à vous engueulez avec lui, il préféra s’en aller en vous jetant un regard condescendant. Préférant les attaques intelligentes à la force brutale, il vous mettra K.O par la force des mots, mais il fait rarement des coups bas, il ne porte pas assez d’intérêt à la plupart des gens pour aller jusqu’à de pareilles extrémités. Toutefois lorsqu’il s’attache réellement à une personne, ce qui est rare, il peut être aussi destructeur que bénéfique. C’est un être passionnel qui cache le tout sous une épaisse couche d’indifférence glaciale. Il est rarement nerveux, prenant tout avec sa force tranquille, et ne stressant pratiquement jamais. Quant à le voir pleurer, mieux vaut ne même pas y penser, il n’a pas de glande lacrymal ou ne les utilise jamais, mais les larmes ne sont absolument pas dans sa façon d’être. Il reste un jeune adulte quelque peu égocentrique et vaniteux.

Paradoxalement à sa personnalité froide, il aime les personnes vivantes et au caractère bien trempé. Mais par n’importe lesquels, crétins passez votre chemin, il n’affectionne que les êtres doués d’une intelligence certaine, et il ne prendra pas forcément la peine de faire la part des choses entre votre attitude de demeuré et votre quelconque génie présumé. Il peut aussi rester avec de très belles et idiotes personnes complètement stupide, juste pour le plaisir de s’amuser mentalement à leur dépends. Car même quand il ne dit rien, il n’en pense pas moins. Notons que le garçon a également un petit coté Macho, qui se révèle malgré lui puisqu’il ne s’en rends pas compte.

Coté cours, il se relève intelligent et instruit, mais son intérêt face au matières tel que l’art ou la divination est semblable au néant. Il aime les belles choses, mais ne se donnera jamais la peine de s’y essayer, d’autant plus qu’il n’a aucun talent musical ni artistique. En ce qui concerne les matières ayant une approche scientifiques (comprendre un raisonnement hypothético-déductible), son esprit cartésien y excelle. Donner la raison d’un événement en l’expliquant par a b d’une façon tellement logique que son raisonnement ne sera pas mis en doute correspond totalement à l’idée qu’il se fait du monde. Quant aux cours de vol, ça le fatigue, il n’y va pas. Il faut également avouer, qu'il se sent aussi à l'aise dans les airs qu'un poisson hors de l'eau.


Histoire : Un père moldu ayant une situation confortable [Aigri] et une mère sorcière plutôt libertine.
Ses parents se sont séparés deux ans auparavant.

"Une enfance sous le signe du contrôle de soi. Père n’aimait pas les cris, il n’aimait que peu de choses en fait, et surtout pas moi, cet enfant qui lui rappelait tant sa femme haie. Père n’aimait pas les enfants, car il trouvait ça encombrant, alors je me devais d’être différent, un jeune adulte dans un corps impubère, un être parfait à un âge ou la perfection est le plus grand des défauts. J’appris donc à me contrôler, affichant un air sage lorsque Père me grondait de sa voix terrifiante, lorsqu’il marmonnait des horreurs sur Mère tandis qu’elle n’était pas là pour les entendre. Moi, petit bout de garçon impeccablement mis, mes cheveux blond retenus en arrière par un nœud en velours foncé , fantaisie de Mère, tandis que sur ma chemise, mes petites mains blafardes serraient les boutons ébènes. Mes yeux se dardaient alors sur Père, et de ma voix fluette je murmurais des mots d’excuses, ma personne tranquille acquiesçait silencieusement, et lentement il se calmait, et jetait sur moi un regard lourds de reproches puis il quittait la pièce rapidement.

Mère sortait rarement de la maison en journée, elle prenait le thé avec ses amies, en bas dans le petit salon, et elles passaient de longues heures à avoir des discussions futiles et inintéressantes. Lorsque l’une d’elle m’apercevait, Mère me traitait comme un trophée tandis que ses femmes aux mains si douces et aux ongles ouvragés louait ma beauté et mon charme glacial. Face à ses femmes, j’étais au départ intimidé, tant par leur prestance que par la beauté de leur allure, puis peu à peu, grandissant à leurs cotés, me vint l’idée de les imiter, mon corps copiait leurs gestuelles raffinées, ma voix se modifiait prenant un ton affecté, et mon regard apprenait toutes les saveurs possibles en deux iris. J’apprenais l’art d’être en société sans même m’en rendre compte.

Aux cotés de toutes ces femmes, Mère m’apparaissait clairement supérieure, une sorte de version améliorée de moi-même et lorsque je l’observais le soir, se maquiller devant le miroir de son boudoir, je n’éprouvait que l’envie de ressembler à cette femme magnifique. Son visage avait le même ovale que le mien, mais ses yeux verts me semblaient mille fois plus beaux que le bleu des miens. Et lorsque Mère sortait le soir avec un galant à chaque bras, je me retrouvais seul avec père, ruminant son désarroi, criant que les femmes n’étaient que des trainées, puis semblant s’assagir, me répétant que j’étais le seul être qui valait la peine d’exister. Ces rares moments d’affection m’effrayait plus encore que la froideur qu’il affectionnais habituellement. Comme si dans la partition de nos relations, l’amour paternel était une fausse note. Et presque consciemment, je n’avais qu’une envie, faire résonner les semelles de mes souliers vernis dans le parquet du couloir menant à ma chambre de jeune garçon.

Lorsque mon corps se transforma peu à peu en celui d’un homme, je pris conscience de ma supériorité face à ces autres humains inutiles et vulgaires. Ainsi je me constituais un groupe d’amis plus intelligents, plus intéressants que les autres. Des personnes avec lesquelles je prenais plaisir à discuter, et surtout lui, Laine, ce garçon dont la beauté si imparfaite pourtant, dont la personnalité si explosive, m’avait rendue amoureux. D’un amour calme en apparence, mais qui me donnait l’impression de bouillonner de l’intérieur, de vivre quelque chose de grandiose et de magique. Et lorsque nos doigts se liaient sous l’effet de la passion, je ne pouvais m’empêcher de regarder ses yeux ébènes briller à la lueur d’une faible lampe. C’était lui, il était mien.

Puis plus tard, sans trop savoir comment, la passion que j’éprouvais à son égard s’effrita et lorsque je rompis les liens, ce ne fut pas chose facile, son désarroi me fit comprendre qu’il n’était pas si bien que ça. Et je me posais la question sur l’amour que j’avais pu lui porter. « Handicapé des sentiments », « être insensible à toute conscience autre que la sienne », « monstre d’égoïsme » , mais n’étais-je vraiment que ça? Ses mots glissaient sur ma personne, comme des perles de pluie sur la vitre de ma chambre. Pourtant parfois je sentais venir l’inondation, l’inondation de mon cœur qui réfutait ces appellations. Je n’étais qu’un connard, un être imbu de lui-même dont la seule évocation de ses talents, suffisait à lui masturber l’égo de manière orgasmique. Je n’étais que ça, et je le resterais, je n’aimais que l’apparence, pareil à ses vases de faïences magnifiques, qui sonnaient pourtant si creux à l’intérieur.

Avais-je fais une erreur? Le monde n’était -il pas dominé par la plastique parfaite d’un individu lambda? Quand bien même ce n’était pas le cas, les êtres humains m’apparaissaient semblables à des monstres de foires. Leurs rires trop bruyant, leur attitudes trop vivantes, et leurs sentiments écœurants.

Entre temps, j’avais rencontré les livres et m’étais pris de passion pour ces univers si savamment travaillés, j’avais appris l’art de la lecture, la compréhension d’un style et l’étymologie de l’écriture alambiquée. Mes maitres en la matières possédaient leur espace bien à eux dans la large bibliothèque qui occupait un mur de ma chambre. Et je passais de longues heures tard le soir, à écrire des essais sur des thèmes plus disparates les uns que les autres. Alors que mes doigts se mouvaient sur le clavier noir de mon ordinateur personnel, les ombres mouvantes jetaient des formes effrayantes sur les murs m’entourant. Pris au piège de ma sphère de sérénité, je n’étais plus capable que de ressentir indifférence et mépris à l’égard de la plupart de mes congénères. J’avais raison, ils avaient tort. Je ne cherchais plus à me remettre en question, et il me semblait que la vision d’une personne capable de me comprendre, s’effritait de plus en plus avec le temps.

Un beau jour pourtant, Mère revint de la maison m’annonçant qu’elle quittait Père pour aller vivre son amour avec un américain âgé mais richissime et me supplia de la suivre lors de son départ. Malheureusement cela m’était impossible, et malgré toute l’admiration que j’éprouvais à son égard, je la laissais quitter le navire pour prendre soin de Père. Qui suite à ça sembla me faire comprendre sa reconnaissance en m’offrant toujours plus que ce que je ne pouvais imaginer. "

Signe particulier
: Souvent plongés dans des bouquins pour des raisons quelconques, il passe également son temps à commander des objets et des vêtements via la vente par correspondance magique. Un accro du shopping en quelque sorte.

Animal de compagnie : Il a un chat, comme tous le monde me direz vous.
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Nathanaël Curringam
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