A la recherche de Saï

Swann se tourna vers Saï lorsqu'il prit la parole mais ce sans se décoller d'un millimètre de Luna. Elle fit un grand sourire quand elle entendit le mot fraises, sourire qui s'effaça rapidement pour faire place à une expression d'intense colère alors qu'elle regardait le dénommé Kyou. Dés la première seconde, elle ressentit du mépris pour la boule de poil qu'elle considérait comme une menace pour SES fraises!

*Il touche à une seule de mes amours je le donne en pâture au calamar géant!....Ou je jette un sort à miss teigne pour qu'elle tombe amoureuse de lui!...Mouhahaha...il n'y survivra pas!*

Une lueur de pure sadisme traversa ses beaux yeux perles alors qu'elle continuait de fixer la petite bête qui reçut une pomme sur la tête et poussa un petit cri. Swann toujours immobile eut un petit sourire typiquement Serpentard.

*Stupide animal! Merci la magie sans baguette!*

Cela fait elle reporta son attention sur la petite discussion portée sur la nourriture.(HJ: je commence à avoir faim moi maintenant!^^)

"Tu aimes le réglisse? Ça me rappelle quelqu'un" dit-elle amusée en se tournant vers la Gryffondor. Elle fit un petit clin d'oeil à la jeune fille avant d'acquiescer à la dernière remarque du rouquin. Elle se redressa et tendit la main aux autres en criant

"En avant mauvaise troupe! Mais je vous préviens s'il n'y a pas de fraises je fait une crise! Je commence à être en manque!"

Elle souriant mais ses yeux étaient légèrement assombris, un mauvais signe chez elle.

Jean etait perdu dans ses pensées. C'est à peine si il se rendat compte de ce qui se passait autour de lui. Il n'avait à peine fait attention à l'entrée fracassante, surtout pour Saï, de Swann.

Non il se voyait lui, et Luna. Il se demandait comment il pourrait lui plaire. Il savat en lui même que son grand-pere, quand il le saurait, le punirait séverement. Il l'entendait déja: *Misérable fls de rien! Aussi faible que ton pere! Tomber amoureux d'une sang de bourbe! Tu es la honte des Orion!* Il lui semblait déja sentir les milliards d'epines s'nsinuant en lui comme punition.

Il frissonna. Ce qui le fit sortir de sa reverie juste à temps pour vor les autres s'en aller.


"Hé attendez moi!" Fit-il en se levant. Pus il courut pour les rejoindre.