à l'intérieur

Ils entrèrent. Saï déglutit difficilement, ça bouche anormalement sèche.

*brrr cette maison me fait froid dans le dos, il règne ici une atmosphère étrange qui ne me dit rien qui vaille"

"Alors, où sont-ils ces deux là???"

Un terrible écho se fit entendre

(HRP le début est dans: descriptions)

Jean etais arrivé en premier au premier étage. C'etais bien ce qu'il croyait.... Un chat! Pour ainsi dire une maman chat avec sans doute une portée. Salomon-Crôa tremblait sous le pull de Jean. Mais la chatte n'en avais que faire, elle regardait en haut d'une armoire. Dessus il y avait le petit animal de Saï.*Chasse là un bon coup de pied au %£ avant qu'il n'arrive./ C'est une maman, elle à faim et elle a peur.*

[ cf description]

"ça ressemble à la maison de ton grand père?! sans vouloir t'offenser ça n'a pas l'air super de vivre là-bas!"

Jean se précipita dans l'escalier, et retomba quasi aussitôt dans la poussière régnant à l'intérieur de cette maison hantée.

"ça va rien de cassé? Kyou? je ne sais pas, il doit être en haut
en danger, merlin!"

Courant derrière Jean, il s'engoufrèrent dans les escaliers et découvrirent, en arrivant à l'étage, un chat, ou plutôt une femelle accompagnée de ses petits qui regardait en haut d'une armoire, Saï suivit son regard et découvrit Kyou.

*dans quelle situation s'est-il encore fourré?!*

"Kyou, ne bouges pas, j'arrive"

Mettant ses muscles a rude épreuve, il commença à escalader les meubles entourant cette armoire en gardant un oeil sur cet animal qui se léchait les babine de manière peu discrète.

[désolée jai pas le temps de poster la suite ^^' ma mère a décidé de faire chi** son monde aujourd'hui]]

La chatte et ses petits observer le petit animal, tandis que Saï escaladait les meubles. *C'est le moment de montrer ce que tu sais faire Jean.* Jean pointa sa baguette sur une pierre qui avait dut etre jeter sur une fenetre. Il avait voulut la transformé en souris mais n'obtenue qu'une petite queue. *Bon plan deux et il faut se dépecher* Saï venait de se rapprocher mais le chat avait bondit... Trop tard. Non Jean jetta en dernier espoir une des bombabouse sur le chat. Celui-ci pris peur et s'enfuit. Jean et Saï etais couvert de bouse mais le chat s'était enfui avec sa portée. En voyant le visage surpris et maculé de crotte de son ami. Il hurla de rire en se tenat les cottes. "ça écla-BOUSE vraiment bien!"Réussis t'il à placer entre deux fou-rire. Le corbeau vexé que quelqu'un l'ais vue avoir peur s'envola sur l'armoire et ramene quelques bonbons, qui avaient échappé a sa voracité et à la bouse.
"Tu en veus?"demanda-t-il a son ami. Puis il prit une dragée et la lança au corbeau qui l'attrapa en plein vol.
A ce moment ils entendirent un bruit venant du rez-de-chaussé qui n'avait rien à voir avec un chat.

Comme sourd à ce qui se passait autour de lui, Saï continuait son ascension vers Kyou.
Tout à coup une formidable explosion retenti et il se retrouva couvert de ... bouse!

*mais que...*

Ahuri il regarda Jean qui éclata de rire, Saï se joignit à lui. Une fois calmé il récupera Kyou, redescendi et accepta avec joie un dragé.

"beurk, goût poubelle
c'est quoi ce bruit?"

Se dirigeant vers l'escalier il aperçu des formes humaines, il revint vers Jean et lui mumura:
"soit on se fait attraper, soit on file en douce"

[/i]" Filer en douce, c'est ma spécialité, depuis que j'ais sept ans je sort de ma chambre par la fenetre. Et là on a pas le choix. Viens il faut trouver quelquechose pour descendre "Jean avança sans bruit en faisant signe à son compagnon de l'imiter. Il avait l'habitude de se déplacer furtivement pour pouvoir échapper à son grand-père. Il se dirigea vers une fenetre mais la parois etait lisse. Ils ne pourraient pas s'y accrocher. Il chercha a toute les fenetres un moyen de descendre mais il n'en trouva aucun. Ils étaient pris au piege. Jean commençait à angoisser quand il eu un éclair de génie: "C'est une maison hantée on va leurs faire peur! Cache toi quelque part, fais craquer le plancher pousse des gémissements et pris pour que ça marche. On va commencer par une touche spéciale. Salomon-Crôa rentre dans ta cage!" Bien sur le corbeau refusa d'obéir et poussa un crossement encore plus terrifiant que d'habitude. Les cheveux de Jean etaient dressé sur sa tête malgrés le fait qu'il connaissait l'auteur du cri. Ils purent entendre des voix:"Qu'est-ce qu c'etais que ça?/ Je ne sais pas mais ça fou la frousse."
Jean fit un clin d'oeil à Saï " Ca va marché...."

*Filer en douce, sa spécialité? bah, chacun ses secrets!*

"leur faire peur, quelle bonne idée "

Il suivit Jean sans faire de bruit, après tout il était aussi habituer à ne pas faire de bruit, mais pour une autre raison...
Tout ce qu'il faut c'est qu'il n'ai pas de crise sinon ils seraient découvert et peut être renvpyer de Poudlard.
Lorsqu'il entendit ce cri, il eu froid dans le dos.

"Ton corbeau est un acteur de génie!^^
Il y a de la poussière, Kyou viens par-là!"

Le petit animal arriva aussitôt et Saï commença à le barbouiller de poussière pour qu'il prenne une teinte grisâtre.

"tu vas descendre avec ce corbeau et vous allez hurler comme des cochons qu'on égorge, compris?"

"Wizzou"

"Salomon-Crôa?"

Le corbeau le regarda d'un entendu et tous deux s'envolèrent dans les escaliers, à la poursuite des malheureus qui osèrent pénétrer dans cette cabane hurlante.
Malgré les cris des deux animaux, ces personnes revinrent à la charge.

Jean n'en revennais pas, son corbeau, sa tête de mûle d'oiseau, avait obéit! Comme si il sentait lui aussi qu'ils etaient tous en danger. Mais les deux animaux avaient beau crier les personnes, bien que térrifié refusé obstinément de s'en allait. Il s'approcha à pas feutré de l'escalier en faisant signe à Saï de rester ou il etait. Il risqua un oeil. D'ou il était il ne voyait pas les personnes mais il voyait une table de salon et un dessus de crâne. En murmurant, il pointat sa baguette sur la table:"Wingardium Leviosa" La table se souleva. Il la ballada dans son champs de vision sous les cris apeurés des intrus. Il en compta trois. Pour en rajouter il jeta ses dernieres bombes à bouse dans le hall et poussa des hurlements angoissants. Deux des personnes s'enfuir. Mais le dernier resta sur place."Hé revennais les mecs!"Puis il se précipita dans les escaliers. Jean eut à peine le temps de s'enfermer dans une armoire avant qu'il ne le voit. Tout leurs espoir reposait maintenant sur Saï.

Lorsque Saï vit Jean pointer sa baguette vers les escaliers il pensa tout d'abord qu'il allait commettre un meurtre, en effet, il avait peut être l'air gentil mais Saï ne doutait pas qu'il cachait des choses*moi aussi, mais tout le monde a son jardin secret!!^^* ne sachant pas de quoi il retournait, il laissait agir son ami qui lança un wingardium leviosa pour effrayer les visiteurs indésirables

Cela faillit fonctionner; il n'en resta qu'un le seul porblème c'es que ce dernier se dirigeait vers les escaliers.

Lorsqu'il vit Jean s'enfermer dans une armoire, Saï utilisa un "sonorus" pour amplifier sa voix et un sort pour se faire pousser des poils.
Losrque l'autre personne arriva en haut de l'escalier, il ne put identifier ce à quoi il avait affaire, mais entendit un hurlement à glacer le sang et détala comme un lapin sans demander son reste.
Le sort perdit de son effet tout de suite après sa démonstration
Un grincement retenti, La porte de l'armoir s'ouvrit sur ... un Saï mort- de-rire.

"Si seulement tu avais vu la tête qu'il a tiré, s'était hilarant!!!!!!"

Jean, dans son placard, eue du mal à ne pas angoisser. L'étroitesse du lieu le faisait ressembler, en moins humide, au cachot ou l'enfermer son grand-père pour "l'endurcir". *Tu n'es qu'un minable fils de rien!*. La voie de son grand-pere raisonné dans sa tête. Il revut le détraqueur avec lequel son grand-père l'avais enfermé à l'age de sept ans pour lui faire oublier le souvenir de ses parents. Il tremblait de tout ses membres, il se sentait tombait au fond d'un gouffre. Quelquechose l'attendait dans ce trou quelquechose qu'il avait appris à cotoyer, quelquechose de maléfique. *Tends moi la main oublie qui tu es...* la voi dans sa tête se fit cajolante, envoutante. *Tu n'es pas un être comme les autres. Tu es... "NON!" Jean hurla de toute ses forces repoussant cette chose qui se terrait au fond de lui. Heureusement un grognement plus terrible encore couvrit son cri et le ramena à la réalité. *C'est Saï qui a crié comme ça? Il a utilser un sortilege d'amplification surement.*. Jean sortit de son cauchemard, il en ouvrit la porte. En voyant son camarade écroulé de rire, il eu un sourire. Mais il n'avait pas le coeur a rire. Il etait passé à un cheveu de la catastrophe. Il avait faillit passer la main à son côté sombre.

"On leurs a vraiment foutu la trouille.... Bravo pour ton cri. Vraiment impréssionant quel sortilege as-tu utilisé Sonorus? Je crois qu'on est partit pour bien s'amuser toi et moi.... Enfin... Pour bien glandouiller!!" Jean fit un sourire, mais le coeur n'y etais plus. Il s'etait vraiment fait peur. Il avait mal à la tête, son côté caché par ses cheveux le brulait. Il tomba a genou en tremblant.
*Laisse moi venir ne lutte pas, ne te detourne pas c'est ton destin. les marques sur ton visage et sur ton dos en témoigne./ Qui es tu? pourquoi ne me laisse tu pas?/Je suis toi... Je suis Azim iben Faata l'ange destructeur, tu es jean le lion. Nous sommes liés par ces marques. Tu dois accomplir ta destiné.* Soudain le mal de tête s'arretta, Jena put se relever. Il murmurait tout bas:"Je suis Jean Orion je viens de rentrer en cinquieme année à Poudlard. Je ne suis rien d'autre."Maintenant, il avait vraiment peur, il avait faillit se faire un ami mais aprés cette scene c'etai foutu.

(HRP: voila comme tu m'as fait un cadeau, je t'en fais un. Mais n'oublions pas que nos persos ne sont pas au courant )

[lol, ok, mais en fait cette idée avait germée dans ma tête bien avant: https://poudlard-p.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=518 merci, on en apprend un chtit peu plus sur ton perso!!!]

"ouai, ils ne reviendront pas de sitôt!!!!!!! J'ai utilisé sonorus et ai laissé libre cour à mon imagination débordante *surtout pour les mensonges...*
Je serai ravi de devenir ton ami et de glandouiller le plus possible avec toi!"

Saï vit Jean grimacer de douleur et l'entendit murmurer qui il est est.

" Jean? Ca va? Tu te sens mal? Je pense qu'on va aller à l'infirmerie si tu ne va pas bien"

"Surtout pas! Euh... désolé je n'aime pas l'infirmerie. Mais rentrons à Poudlard je crois que j'ais besoin de repos" Jean fit un sourir à son nouvel ami puis descendit les marches. ariver en bas il se dirigea non pas vers la sortie mais vers d'autre porte. " Et si on visitait plutot? Il y peut-etre des trésors caché."Il fit un vlin d'oeil à son ami et se mit en devoir d'explorer chacune des pieces de la maison. Salomon-Crôa se posa sur sa tête et fit tourner sa tête dans tout les sens comme pour surveiller que personne se s'en prenne à lui. Tu trouves des trucs intérressant? Parceque moi j'ais rien trouvé mais je rigole bien."

"tu veux y aller, ok, si tu veux, je capitule!"

Saï suivit son ami à travers la maison, lorsqu'ils atteignirent la porte d'entré, Jean se détourna et alla dans l'autre sens, Saï lui jeta un coup d'oeil interrogatif, sans même le voir ce dernier lui répondit.

"visiter? après tout, pourquoi pas? personnes ne m'attend à poudlard en plus, maintenant que tu n'as plus tes valises, il te seras plus facile de te déplacer.
Au fait, tu n'as plus de bombabouses?"

Attendant que son nouvel ami reponde, il fit lui ausi le tour de la maison et découvrit un piano.
Appelant Jean il se mit à y jouer.

Saï lui avait trouver quelque chose. Jean entendit commesi quelqu'un frappait à coup de marteau sur un pauvre chat: Hi clong Miaou. Il arriva dans la piece ou etait Saï et il le vit torturer un pauvre piano qu lui avait rien fait... *Bon sang mais c'est quoi ce bordel dit lui d'arreter ou je l'étripe!*
"Woua tu joues du piano? Ton style est assez..... Spécial." Quand il vit l'air étonné de son camarade Jean éclata de rire et malgrés les protestations de son coté sombre il s'assit et se mis à marteler les touches comme un fou. Faire ça le soulageait de ce qu'il avait vécu tout à l'heure. C'etait comme si toutes ses angoisses ses peurs ses questions sans réponse lui revennait.

Il ne savait pas depuis combien de temps il joué... Au début il frappait les touches de façons brutal voulant se défouler plus qu'autre chose, des larmes lui coulait sur le visage. Mais il ne voyait plus rien. Puis la pseudomusique se fit plus douce et Jean se mit à sourire. Il revoyait le visage d'une jeune femme blonde souriant. Il s'en souvennait à peine, c'etais sa mère.

Puis Jean s'arreta troublé. Il se leva d'un bon et dit: Salomon-Crôa on y va." Puis il partit sans faire attention si son ami etait encore là. Il avait dut joué pendant une heure.

"comment ça spécial ?????
C'est de l'art voyons!!!!!!!!!
En fait il est juste désacordé mais c'est marrant quand même, je voulait voir ce que ça fait de jouer sur un piano désacordé!"

Jean s'assit à côté de Saï et commença à tapper comme un fou sur les touches, en fait, ils s'y mirent tous deux de concert, on devait les entendre, meême du haut de cette sorte de colline mais en fait ils s'en fichaient complètement, faire cela était un moyen de décompresser pour Saï, il avait eu pas mal peur tou à l'heure lorsque les intrus étaient arrivés.
Tout à coup Jean sourit, s'arrêta de jouer et sortit de la pièce.

*ben qu'est-ce qu'il fait?*

Saï était médusé *il pourrait au moins parler*, déterminé, il le suivit et lui coupa la route avant qu'il ne sorte:

"hé, tu vas où? qu'est-ce qui te prends?" dit-il en secouant son ami comme un prunier.

Jean remarqua enfin que Saï etait là. Il le regarda dans les yeux une bonne minute le regard vide. Puis il sembla revennir à lui.
"Ho c'est toi... désolé si je t'ais fait peur, je me suis souvennu de quelquechose...." Il avait sa main dans sa poche et semblait caresser quelquechose. Un derniere bombe à bouse....
Viens allons boire un coup, j'ais besoin de quelquechose de fort.*Qu'est-ce que tu racontes j'ais quinze ans et on plus de sous/La ferme c'est mon tour durant une heure....*
"Ne t'inquiete pas pour l'argent j'ais une solution"Jean eut un sourire sournois et pervers qu'il n'avait jamais eu jusque là. Puis il sortit direction:

[a la tête de sanglier]

Jean regarda Saï, l'air ailleurs.

"Boire un coup? j'arrive"

*il a l'air bizarre, pas du tout comme d'habitude, qu'appel t-il par fort?
il va falloir que je le garde à l'oeil: son attitude n'est plus la même et ce sourire, il a l'air d'être un autre*

[Édit: attention de développer un peu plus tes messages. Une ligne de description, une parole et trois lignes de pensées, ce n'est pas très élaboré. Je suis certaine que tu peux faire plus!]

Jean se servit d'un sort de lévitation pour passer au travers de la barricade. Puis il se dirigea vers la maison... Salomon-Crôa le tira en volant jusqu'au piano. Jena s'y laissa conduire avec réticence.

"Quoi déja? C'est pa l'heure tu sais?" *On avait jamais dit qu'il devait y avoir des horaires à respecter/ tu m'emnnuis je m'amusais bien... Joue! ou je ne te ferais plus jamais revennir.../ et comment tu va faire? T'empecher de pleurer?*. Jean s'assit au piano. Il recommença a joué martelant les touches il se mit à sourire. Puis recommença à pleurer....

Saï suivait Jean depuis la tête de sanglier, comme lui, il s'aida à nouveeau d'un sort de lévitation pour passerpar-dessus la barrière.
Kyou le suivait en volant, Saï le regarda:

*évidement, c'est bien plus simple pour toi!*

Rentrant dans la maison il dévalla les pièces car il; entendait Jean jouer du piano.

"Jean, mais tu vas pas bien? tu sais ce qu'on va avoir?!"

Il s'arrêta lorsqu'il le vit pleurer. *Mais qu'est-ce qu'il a encore? d'abord il pète un plomb puis il s'enfuit sans payer deux consommations pour majeur et, en passant, il salit l'auberge, et enfin, il pleure en jouant au piano*

"J'aimerais que tu m'expliques certaines choses:
Qu'est-ce qu'il t'a pris? As-tu pensé aux conséquences de tes actes? et puis d'abord, pourquoi tu pleures?" explosa-t-il.

"Je ne pleurs pas, je me souvient..." Jean se leva murmura mais en évitant de regarder Saï dans les yeux.
"Il existe en ce monde des choses que même un magicien ne peut comprendre..."Puis il se dirigea vers Saï et là il le regarda dans les yeux."Crois-moi, ignore-moi mantenant. Je ne vais t'attirer que des ennuis. J'ais crut que nous pourrions être amis mais là, tu as vu à quel point je suis instable" Jean s'éloigna du piano et se dirigea à l'étage. Dans une des pieces qu'ils avaient visité en essayant de s'enfuir par une fenetre, il y avait un lit, Jean s'y coucha puis fixa le plafond.

"et tu te souviens de quoi?"

*il fait une déprime ou quoi????? d'abord il pète un cable et là il pleurt Oo*

"si on comprenait tout, à quoi ça servirait d'exister? dis-moi? l'homme est sur terre pour apprendre et profiter de la vie, non?"

Saï regarda Jean se diriger vers lui et le regarder dans les yeux, il l'écouta et le vit partir. Malgré ce que Jean avait dis, Saï persista et le suivit à l'étage, dans une chambre.
Il le vit entrer et s'allonger. Saï en ptofita pour laisser sonr regard errer, comme d'habitude.
La pièce était assez sinistre, de taille moyenne elle avait une tapisserie grise et pour seuls meubles un lit, dénué de tout ornement, et une commode, on y mettait probablement des vêtements avant.

*avant quoi d'alleurs? pourqoi la "cabane hurlante"?*

Tout à coup, un hurlement strident, plein de douleur, rententit. Une sueur froide coula dans le dos de Saï, les loups-garous hurlait de cettes façon paraît-il.

"Jean, je crois qu'on devrait partir, vite!" dit-il allarmé.

"Non, je ne crois pas. Les victimes de notre farce ont dut se rendre compte de notre supercherie."Jean s'etait exprimait doucement d'une façon morose.... Il se leva quand même et Salomon-Crôa vint se poser sur son épaule. *Imbécile c'est pas le moment de nous faire ce coup là! Aller on se tire!/Non rien à craindre.*

Jean se dirigea vers la direction du cri, baguette tendu. Il appelait:
" Heho on sait que vous etes là, on a pas peur..... Sortez qu'on vous voit."

Un autre hurlement se fit entendre.
[/i]

Les volets de la cabane hurlante claquaient, le vent s'engouffrait par tous ls trous de la batisse en ruines... Et par dessus ce vacarme du tonnerre, un cri strident se fit entendre. Un cri a vous glacer le sang. Un cri terrifiant, poussé par une fille terrifiante a ses heures... Un cri, puis encore un autre... De la même voix aiguë.. Puis des protestations hurlées de la même façon... Et encore des cris...

" Saleté de bestioooooooooooooooole ! HIIIIIIIIIII ! LACHE CA ! HIIIIIIII ! "

Puis un boucant se fit entendre un peu partout dans la maison... Une course poursuite éffrennée entre une jeune fille appeurée, couverte de boue, de terre, les ongles sales, les cheveux ébouriffés dans tous les sens, et une multitude de petites bestioles grises sur 4 pattes, dotées d'un museau, d'une queue et d'une paire d'insicive meurtrières.

Les portes claquaient, et le bruit des pas de la Serp résonnaient dans le calme plat de la vieille batisse. Puis, les pas gravirent les escaliers 4 à 4, voir même 8 à 8 si possible. Haletante, elle pernetra dans une piece, et claqua la porte, pour barrer le passage aux choses horribles qui la poursuivaient depuis qu'elle était passée sour le saule cogneur.

A bout de souffle, elle se laissa glisser le long de la porte, pour tomber assise. La jeune fille passa sa main devant ses yeux, puis dans ses cheveux avant de poser un oeil sur la pièce. Elle poussa un autre cri strident quand elle apperçut une silhouette face à elle, baquette pointée sur elle, puis une seconde un peu en retrait, ainsi que deux bestioles qui leur tenaient compagnie.

Dans un bond extraordinaire, elle se remit sur ses pieds, en position de combat, prète a se lancer dans une bagarre quelconque pour quelque motif que ce soit. La poitrine toujours secouée de ses bouffées d'air qui n'arrivaient pas a lui rendre une respiration normale, elle fixait ses adversaires potentiels d'un oeil noir...

Jean avait l'air persuadé que les personnes de tout à l'heure était revenues, mais ces cris n'avaient rien d'humain, bien au contraire, ils avaient quelquechose de terrifiant.
Tout à coup, on pu entendre comme une personne courir à perdre haleine, une personne...ou...une chose.
Saï se mit à trembler violement *c'est pas que j'ai peur, mais c'est pas très rassurant; tout seul avec Jean dans une maison prétendue hantée, alors qu'il fait mauvais temps dehors ça rassure pas du tout XD* et regarda Jean sortir sa baguette:

"Tu vas quand même pas sortir?! on sait pas ce que c'est "

Les pas se rapprochaient à une vitesse affolante, de plus, cette créature semblait immense au vue du bruit qu'elle provoquait dans les escaliers. Ils se rapprochent. Saï tremble de plus en plus, et pense même à se cacher sous le lit [pas très courageux je sais, mais il est pas à gryf!].
La porte s'ouvrit à la volé et une chose [on peut pas dire autrement] couverte de boue fit son apparition, Saï tomba dans les pommes!

Jean etait toujours devant la porte regardant dans le couloir, Un espece de tas de boue hystérique le fixait pret à combattre. *Sang et fumée! Un golem!/ ne dit pas n'importe quoi résidu, de matiere fécale, ça peut pas etre un golem. C'est trop petit et trop maigre. C'est.... Vaguement humain.* a ce moment Jean entendit un bruit mat, Il ne pouvait pas se retourner de peur que cette chose l'attaque. Il remarqua une masse rose qui tombait de la tête du golem. * C'est pas un golem, c'est pas rose un golem et ça n'as pas les yeux bleus.*[i]Jean abaissa sa baguette lentement fixant toujours le "golem". Salomon-Crôa poussa un coassement menaçant qui fit frissonner toute les personnes présente et vint se poser sur l'épaule de Jean. " Euh.... Bonjour le golem*imbécile si c'etait un golem il t'aurais attaqué.*Ca va? Attention je suis vachement fort en alchimie." Jean n'avait en fait ouvert que des livres que son grand-pere gardé dans sa bibliotheque. Il ne connaissait que les principes basiques. Il garda sa baguette baissé, mais au besoin, il semblait pouvoir compter sur son corbeau qui lui donnerait en attaquant la créature assez de temps pour pouvoir jettait un sort si la créature attaqué.